« Sur le thème de la continuité évangélique où le non à la relativité humaine devient le oui au projet de l’amour de Dieu, Claude-Henri Rocquet, un de nos rares grands auteurs contemporains, poursuit sa quête : un parcours spirituel qui révèle et assume le gouffre de notre condition d’homme. » Jean-Luc Jeener à propos de Jessica, 1994.
« Théâtre visionnaire, surromantique, dont seule peut rendre compte une parole pleine, sèche et craquante comme le feu, vivant de son manque, et mourant de sa force. » Jean Gillibert à propos de l’adaptation de l’Oreste d’Alfieri, 1991.
« Écrit dans la plus simple des simplicités, ce récit entrecroise ainsi les fils de la mémoire, ceux dont est faite l’étoffe de nos jours profonds, le recueil même de notre expérience du monde, dans la variété de ses visages, de ses espèces, et dont l’arche du vieux Noé pourrait figurer une manière de bibliothèque… » À propos des Cahiers du déluge (L’arche d’enfance), Michel Crépu, dans La Croix, 1997.
Sur Goya : « Claude-Henri Rocquet croise les compétences : on y discerne en lignes fortes l’historien d’art, bien sûr, mais aussi le poète, l’essayiste, le critique, l’écrivain dont la plume sait prendre d’inattendues colorations intimistes. » Serge Hartmann, Dernières Nouvelles d’Alsace, 2008.
Un « Cahier critique » (1963-2015) comportant 57 recensions portant sur une trentaine d’ouvrages est en ligne. Les recensions les plus récentes sont en tête. La liste des livres avec le n° de page de la recension est pages 3 et 4. La liste des recensions choisies se trouve page 189 à la page 196.